22 janvier 2014
Toi...
Ce qu’on a pu baiser au grand vent de l’Amour
Se foutre sur la gueule en caressant ton sein
Tout ce sang sur ma langue assoiffé de tes reins
Je me souviens de Mai où la pluie vît le jour
Sur l’odeur acajou de ton ventre incendié
Cet oreiller mordu sous l’averse en désir
De mon corps suspendu au plafond élixir
Le parfum de ton sexe à cet instant d’aimer…
***
… Ce geste délicat envahit tous nos draps…
Dan
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